De Philippe Aïni, on connaissait surtout les corps et les visages. Et voilà qu’il se lance dans l'arboriculture. A l'occasion de la dernière édition de Viva Cité, il a livré à Sotteville quelques espèces uniques et rarissimes comme "Le peuple-y-est", "L'arbre-oiseau", "Le faiseur de larmes" ou "l'écorché", sans oublier son fameux "Arbre à seins", muni d'étranges tubercules roses qu’il n’est pas utile de décrire.
Reconnu comme un phénomène de l'art brut et un personnage truculent, Philippe Aïni s’est pris, au cours des derniers mois, d’une rare affection pour les arbres, ces créatures qui ne demandent qu’à respirer en paix.